Monsieur le président, avant la suspension de séance, le débat portait sur les temps de parole dans ce débat. Sans vouloir polémiquer ni rabâcher, j'appelle votre attention sur le fait que, alors que les députés non inscrits ont fait des efforts pour limiter au maximum leurs interventions – François Bayrou et moi-même avons soigneusement comptabilisé chacune de nos prises de parole jeudi et vendredi derniers pour être sûrs de garder un peu de temps pour aujourd'hui –, ils ne disposent plus ce soir que de quatre minutes pour défendre trois amendements. Je vous demande donc de bien vouloir prendre les mesures nécessaires pour corriger une situation qui me semble anormale par rapport au temps de parole dont dispose l'ensemble des groupes.