C'est en effet la loi pour l'égalité des chances, monsieur Juanico, qui a créé la gratification.
De son côté, Valérie Pécresse a travaillé à encadrer les stages afin d'éviter les abus : ils doivent être intégrés au cursus scolaire et respecter un niveau minimal de rémunération. Tout cela a donc été très encadré par notre majorité. Il s'agit d'éviter les abus, tout en faisant en sorte qu'il y ait toujours des stages, car le problème est aussi d'inciter les entreprises ou les collectivités à en proposer.
En ce qui concerne les droits à cotisation, et comme il s'agit d'une période intermédiaire – ce n'est ni vraiment un travail, ni vraiment des études – le compteur tourne, si je puis dire, au-delà d'un montant légèrement supérieur à 400 euros. Au-dessous, on considère qu'il s'agit d'un stage d'études. Dès lors, à partir du troisième mois, la plupart des stagiaires bénéficient en réalité des droits à cotisation.