C'est M. Woerth, lui-même, qui, dominé sans doute par l'emportement, la fatigue ou l'agacement, a reconnu que la question démographique était, au fond, secondaire et que la crise expliquait le projet du Gouvernement – et donc que vous imposiez aujourd'hui de nouvelles mesures démographiques aux Français.
Lors de l'examen des amendements sur le financement du projet, cette vérité qui a éclaté dans le débat imposera que vous expliquiez pourquoi, alors que c'est la crise qui provoque l'essentiel du déficit immédiat, ce sont les Français modestes qui doivent payer.
Vous ne cessez de clamer sur tous les tons – Mme Rosso-Debord vient de le faire à nouveau – que votre réforme est juste…