À chaque fois qu'ils en ont eu l'opportunité, les socialistes ont reculé devant l'adversité. Peut-être avaient-ils peur des manifestations de certains amis syndicats pour ne pas engager les réformes nécessaires.
Aujourd'hui, nous engageons une nouvelle réforme des retraites parce que nous sommes tous concernés et que nous considérons qu'il est urgent de faire quelque chose, la crise ayant aggravé les déficits.
Dans ce débat sur les retraites auquel nous participons depuis mardi,...