Mais la catastrophe financière, le cauchemar financier, monsieur Nicolin, sont bel et bien là. Vous avez tort de rire de ces choses-là, chers collègues. Les Français, croyez-moi, n'ont pas de quoi rigoler, compte tenu des impôts qu'ils vont devoir payer et les sacrifices qu'ils auront à consentir à cause de votre politique.
Nous parlons de choses concrètes. Monsieur Dord, vous avez fini par lâcher le morceau, si je puis dire, en disant que la note de la France par les agences de notation risquait d'être dégradée si l'on ne faisait rien. Mais pourquoi donc le serait-elle ?