Ce choix, nous le condamnons.
Le problème du fractionnement des carrières est réel. Moins de la moitié des femmes valident une carrière complète ; un tiers à soixante-cinq ans contre 5 % pour les hommes. Dans ce domaine aussi, M. le ministre a fait des promesses, mais je doute qu'elles arrangent beaucoup les choses.
Au regard de votre choix idéologique, nous proposons le maintien d'une borne d'âge à soixante ans – repère lisible –, mais également la prise en compte et le respect de choix et de rythmes de vie qui ont changé en ce XXIe siècle et dont il faudra tenir compte dans l'avenir. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)