Je suis étonné que la liberté que vous revendiquez bien souvent dans votre camp ne se retrouve pas dans votre discours. Aujourd'hui, tout le monde doit passer sous la toise et partir à soixante-deux ans. Vous nous aviez habitués à plus de souplesse dans votre libéralisme ambiant.
Rendez-vous donc en 2012 pour refaire tout le travail. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)