Les chars russes allaient entrer dans Paris ; vous vous en souvenez sans doute, même si vous faites mine, aujourd'hui, d'avoir oublié. Vous continuez cependant à tenir un discours dans le même registre, en affirmant que si, par malheur, la gauche revenait à la tête du pays, ce serait la ruine de la France. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)