Vous et moi connaissons le règlement, monsieur le président. J'indique donc simplement que je vais m'exprimer, comme vient de le faire M. Copé.
Je ne suis pas du tout gêné par votre question, monsieur Copé, et il n'est nullement besoin d'employer un ton d'une telle virulence, dans le dessein d'effrayer tout le monde. Je suis vos déclarations depuis un certain temps – j'ai même cité vos propos hier.