Nous leur devons d'être bien équipés, bien informés, bien formés, c'est cela que je veux leur dire.
C'est pour cette raison que nous engageons une réforme majeure de nos armées. J'entends les craintes et, pour dire vrai, souvent je les comprends. Les objections soulevées ne sont pas toutes sans fondement : l'armée hyper-technologique que l'on nous promet ne peut pas se passer de sa composante humaine.