Le droit à l'information doit être le plus complet possible. Il n'y aurait aucune logique à faire le point avec l'assuré sur ses droits à la retraite sans lui indiquer les moyens dont il dispose pour les améliorer, tels que l'épargne retraite, le rachat de trimestres d'études ou encore la surcotisation pour les femmes travaillant à temps partiel. J'émets donc un avis défavorable.