Dans son rapport, la Délégation aux droits des femmes de l'Assemblée nationale a soulevé le problème des femmes travaillant à temps partiel; qui ne peuvent valider quatre trimestres par an. C'est le cas de beaucoup de celles qui travaillent dans le secteur des services à la personne, qui exige un dévouement important.
On peut envisager deux solutions. La première consisterait à abaisser le seuil de 200 heures, ou de 800 heures par an ; la seconde, à mettre en place un cumul glissant sur plusieurs années, afin que ces femmes ne subissent pas, en fin de carrière, un déficit important de trimestres. Le Gouvernement est-il prêt à faire un geste envers cette catégorie très particulière de salariées ?