Je vous prie, monsieur le président de bien vouloir me laisser terminer. J'en ai pour quelques secondes.
Le troisième risque pèse sur la crédibilité de la signature de la France. Peut-être est-ce aussi l'une des raisons qui a poussé le Président de la République à émettre l'idée d'un emprunt national auprès de la population.
Le quatrième risque est économique, car les Français savent que tout cela se terminera par une augmentation des impôts. Cela génère une épargne supplémentaire et compromet la consommation des ménages. On sait que c'est la contrepartie pour près de 70 % de la croissance de notre pays.
Monsieur le ministre, hier je vous ai posé des questions. Je vous en ai posé une tout à l'heure. Vous prétendez avoir répondu hier, mais je n'ai pas trouvé de trace au compte rendu et je suis étonné de votre imprécision.