Je présidais la mission qui s'est rendue récemment à Djibouti : nous avons eu l'impression que l'État français souhaitait abandonner l'hôpital Bouffard pour des raisons de coût, alors que l'État djiboutien tenait à le conserver, naturellement armé par les Français, car tout le monde reconnaît qu'il rend des services inestimables à la population. Qu'en est-il réellement ?