Il y a quand même une incohérence. L'agent travaille pour le joueur, dont il défend les intérêts. Comment pourrait-on en arriver à ce qu'il soit payé par le club ?
En outre, votre approche serait juste, à la limite, si l'on n'avait affaire qu'à des transferts franco-français ou entre la France et les pays de la « vieille Europe », où les clubs ont des structures clairement identifiées. Mais ce n'est pas le cas dans les anciens pays de l'Est et en Amérique du Sud. On ouvrirait alors la porte à toutes les rétrocommissions.