Le risque principal concerne l'absence de vente de Rafale à l'étranger. Si nous devons commander 11 Rafale pendant les deux années qui devaient être couvertes par l'export, il faudra trouver un milliard d'euros de plus. Si nous avons auparavant engagé la rénovation des Mirage 2000 D, il sera impossible de trouver cette somme. Je renonce donc à la rénovation pour préserver un équilibre, certes précaire, mais surtout pour ne pas obérer l'avenir.