Nous sommes en effet tombés d'1 milliard - à 500 millions d'euros. Je n'ai pas fait cela tout seul, assurément, et un gros effort reste à fournir.
En ce qui concerne les bâtiments d'élevage, nous ne pouvions pas continuer à avoir un guichet ouvert en permanence. C'était irresponsable de part et d'autre. C'est pourquoi, après avoir apuré la situation, nous avons indiqué à chaque région ses priorités. Je précise qu'à ma connaissance les dossiers qui étaient prêts au moment où le dispositif a été ajusté ont été pris en compte. Dans plusieurs régions, c'est vrai, des exploitants, dont le dossier était bouclé et avait reçu l'accord de l'administration, se sont vu attribuer des aides inférieures au montant prévu mais leur situation a été corrigée.