, vice-président de la commission des affaires économiques. Il y a deux questions : la première concerne les agriculteurs qui reprennent une exploitation à la fin de l'année et pour lesquels il convient d'assurer le relais entre le 31 décembre et l'arrivée des crédits en février ou mars – ils ne sont pas disponibles en janvier, de l'année suivante. La seconde concerne l'abondement des crédits durant l'année. Les jeunes agriculteurs de Loire-Atlantique m'ont fait part, avant-hier, de leur inquiétude relative aux crédits d'installations encore disponibles en septembre ou en octobre pour répondre aux besoins. La possibilité d'une mutualisation ou d'une redistribution des crédits m'intéresse beaucoup.