Cette question fera l'objet de discussions. Je suis, de ce point de vue, à la disposition du Parlement comme de l'Éducation nationale.
Il faut trouver des professeurs en dehors des recrutés locaux. Ceux qui veulent faire carrière à l'étranger doivent être encouragés.
Les recrutés locaux ne doivent pas, de leur côté, être accablés. Ils sont indispensables au fonctionnement de nos établissements et comblent souvent des vides.
Le réseau étant très sérieux, il faut organiser des inspections. Une réorganisation, une nouvelle répartition, la création d'un programme réseau diplomatique et soutien doivent être examinés.
La tenue d'états généraux en septembre permettrait d'amorcer la réflexion. Les parents d'élèves souhaitent vraiment parler de toutes ces questions et ne plus simplement souffrir ou, au contraire, profiter – ce qui est le plus fréquent – des décisions prises à Paris.