Jusqu'à récemment, l'objectif était de développer le réseau des établissements scolaires sans coût supplémentaire pour l'État. La question qui se pose maintenant, et qui risque d'être déstabilisante, à court terme, pour les établissements, est de savoir si le coût supplémentaire engendré pour l'État par la prise en charge des frais de scolarité des familles françaises doit être transféré – et à quel rythme ? – sur les familles étrangères qui, elles, continuent de payer sur ce réseau.