Ce que peut souhaiter l'Agence, c'est que figurent dans le plafond d'emplois les postes d'expatriés et de personnels résidents qui sont entièrement à la charge de l'État, et que soient laissés hors plafond les emplois financés par des fonds privés, en l'occurrence par les frais de scolarité. L'Agence a besoin de continuer à créer des emplois sans que cela pèse sur le budget de l'État, en précisant qu'il s'agit d'emplois de titulaires de l'éducation nationale française, seuls capables de pratiquer l'enseignement français à l'étranger. Il ne doit pas être très fréquent que des emplois publics français soient financés par des fonds privés.