Alors de deux choses l'une. Soit nous créons des comités qui ont effectivement vocation à faire intrusion dans la vie sociale des toutes petites entreprises – cela peut être une doctrine : j'ai compris que M. Vidalies nous y préparait psychologiquement, dans l'hypothèse que j'espère très lointaine du retour de la gauche. Dans ce cas, nous aurons au moins entendu le message ; vous avez compris que, pour ma part, j'y suis totalement hostile, pour une raison de bon sens : les toutes petites entreprises sont aujourd'hui des acteurs majeurs de la croissance et de la création d'emplois ; les charger de nouvelles contraintes serait folie.