Et au bout de la logique initiée par l'armée de métier, il y a la précarisation des armées, puis la privatisation, non seulement du soutien, mais de nos forces opérationnelles elles-mêmes, sur le modèle américain. Nous dénonçons avec force ces logiques destructrices du capital à l'oeuvre.
Toutefois, les députés communistes, républicains et du parti de gauche, fidèles à leurs positions et combats historiques – c'est le parti des fusillés – et, dans la mesure où ce texte tend à augmenter légèrement les droits des militaires français, déjà bien inférieurs à ceux des armées étrangères comparables, s'abstiendront sur ce texte.