Je le répète, je propose de renforcer ce décret par l'expression : « sous l'autorité des chefs de mission diplomatique », qui n'y figure pas. Mon amendement ne doit pas être lu à contresens : les termes « coordination » et « animation » ne relativisent pas le mot « autorité » ; c'est le mot « autorité » qui renforce au contraire le rôle de l'ambassadeur.
Je n'ai pas non plus d'objection majeure contre le sous-amendement n° 22 . J'appelle néanmoins votre attention, monsieur le ministre, sur le fait qu'une part des activités de l'AFD relèvent tout de même d'autre chose que de l'activité bancaire, du moins telle qu'on la définit habituellement.