Monsieur le ministre, mes chers collègues de la majorité, nous aurions aimé entendre les mêmes protestations de votre part lorsque le chef d'état-major, le général Georgelin et le secrétaire général de l'Élysée, M. Guéant, ont dit à nos confrères de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier qu'ils n'avaient rien à faire là où ils trouvaient.
Nous savons aujourd'hui pertinemment que le journaliste est victime de ce que l'on pourrait appeler l'effet réverbère, c'est-à-dire qu'on veut l'amener là où il y a de la lumière et l'empêcher d'aller là où il n'y en a pas.