Il faut vous remercier, monsieur le ministre, de nous donner l'occasion, à la faveur de l'examen de ce texte, de considérer trois politiques publiques majeures relevant de l'action extérieure de l'État : la politique de la culture et de la langue ; la politique de l'expertise et de la coopération internationale ; la politique d'attractivité de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Il faut vous féliciter de votre opiniâtreté à voir aboutir ce texte, notamment pour ce qui concerne la politique culturelle extérieure, car la question de son organisation et de son déploiement, qui se pose de longue date, a toujours été oblitérée par des priorités jugées plus urgentes.
Il faut saluer enfin votre disponibilité, ainsi que votre capacité d'écoute et votre souci de prendre en compte les suggestions du Parlement. Permettez-moi néanmoins de déplorer – mais vous n'y êtes pour rien – que l'urgence ait été déclarée pour un texte aussi important, car cela nous prive d'une seconde lecture.