Elle ne pourra s'appliquer qu'en l'absence d'un motif légitime : je tiens à cette réserve qui vise à préserver par exemple le cas des journalistes intervenant en zone de crise au nom de la liberté d'information et, bien sûr, celui des volontaires humanitaires.
La formulation globale retenue est donc bien plus protectrice, je le répète, qu'une énumération démagogique – on oublie toujours quelqu'un ou il y a toujours quelqu'un qui ne correspond pas à la liste, et à qui on ne pourrait alors légitimement porter secours ?... De toute façon, on porte secours dans tous les cas, nous n'avons jamais barguigné là-dessus.