Si ce plan d'épandage est modifié, ne serait-ce que d'un hectare, il doit à nouveau être autorisé par la préfecture après qu'un hydrogéologue est venu vérifier si, sur ce nouvel hectare, l'épandage est possible. Or c'est bien là le fond du problème en matière de respect de l'environnement.
Nous ne sommes pas là non plus, cher Germinal Peiro, pour faire la loi en fonction des titres des journaux. Je ne peux pas reprocher au Monde de ne pas titrer sur la contractualisation ou l'assurance récolte : ce n'est quand même pas très vendeur ! (Sourires.) En revanche, si vous regardez La France agricole, qui est un journal spécialisé, vous constaterez qu'il consacre toute sa première page à la LMA,…