Il faut bien penser que, si nous restons sur cette position, cela aura des conséquences graves.
L'évaluation environnementale est un autre contentieux en cours.
Un troisième contentieux pourrait reprendre : celui des eaux potables en Bretagne. Nous venons tout juste d'en sortir ; le risque s'élève à 50 millions d'euros. Qui dit, si d'aventure nous en restions au texte que vous avez fait voter, que ce contentieux ne sera pas rouvert ? Bien sûr, je ne sais pas ce qu'il en sera, mais je m'interroge.
Je voudrais que l'on ne se détermine pas, à chaque fois que l'on vote quelque chose, en fonction de la passion du moment : il faut réfléchir sereinement aux conséquences pour demain.