Même s'il s'agit de 1 000 truies, on voit bien que le texte est totalement inadapté à nos réalités.
Monsieur le ministre, vous avez évoqué la rédaction de votre ordonnance. Outre le fait que nous sommes philosophiquement contre le principe des ordonnances, vous allez adapter cette loi aux outre-mer sur quatre petits points : la réforme des chambres d'agriculture, la composition des commissions chargées de statuer sur la destination des terres agricoles déclassées, les schémas directeurs pour l'aquaculture et la pêche marine. Or les outre-mer, c'est l'essentiel des espaces maritimes français, c'est 98 % de la biodiversité française. On va cependant nous parler de l'organisation de nos chambres consulaires !
Monsieur le ministre, comment comptez-vous adapter ce texte, qui risque d'être calamiteux au regard des réalités insulaires ?