Réclamé depuis des décennies par tous les agriculteurs, un tel mécanisme qui offre à l'assurance privée la garantie de l'État serait le seul moyen de permettre à cette dernière de se développer, par exemple, en matière de fourrages. Ce n'est tout de même pas rien, et c'est plutôt conforme, me semble-t-il, à la philosophie politique de M. Chassaigne, que je ne saurais donc trop inciter à retirer son amendement, par cohérence avec les positions qu'il a défendues jusqu'à présent.