M. le président Ollier, avec qui j'ai eu un entretien sur le sujet, n'y est pour rien non plus. Je n'en ai après personne. Je pense simplement que l'ensemble des présidents de groupe et des députés doivent prendre conscience du problème. Sans avoir la folie des grandeurs – je ne me compare à personne –, imaginez que, dans cet hémicycle, on ait empêché de parler Clemenceau ou Mitterrand, qui ont appartenu tous deux à des groupes de deux ou trois personnes. Cela se passe de commentaire.
J'en viens au fond. Sur la gestion des risques, un énorme travail a été accompli et vos propositions, monsieur le ministre, me paraissent aller dans le bon sens.