Quoique importants, ces changements n'ont pas déstabilisé le dispositif.
Pour les primo-accédants, le taux est porté à 50 % la première année et à 40 % la deuxième, afin de ne pas pénaliser les entreprises innovantes les plus jeunes dont les premières dépenses en matière de R&D, notamment dans le domaine des biotechnologies, sont très élevées, alors qu'elles souffrent par ailleurs souvent d'un double déficit de capitalisation et de capacité de suivi de leurs primo-actionnaires.