Au-delà des questions financières, la question est de savoir si l'enseignement français à l'étranger ne doit pas évoluer vers un enseignement « à la française » pour faire face aux trois défis exposés dans le document d'orientation stratégique de la MLF : la compétition mondiale en matière d'éducation ; l'insuffisante reconnaissance des certifications françaises et la réticence de certains pays à voir se développer sur leur sol un enseignement français. Notre système d'enseignement à l'étranger se prépare-t-il à intégrer ces évolutions, ou reste-t-il figé dans l'immobilisme ?