Il faut évidemment y prendre garde. Il faudrait faire des simulations sur le gain à attendre d'un renforcement de la solidarité dans le cadre d'ATHENA et sur la perte corrélative qui résulterait de l'adoption des mêmes principes à l'OTAN. Comme elles sont fonction du drapeau sous lequel se font les engagements de la France, ce serait là encore au groupe de travail de les réaliser, sur la base de différents scénarios. Néanmoins, il me paraît plus facile de plaider la solidarité au sein de l'Union européenne que de plaider le « chacun pour soi » à l'OTAN.