Depuis deux ans, nous sommes d'accord sur le fait que la facture qui nous est présentée doit être nette, et non pas brute. C'est un progrès : auparavant, les remboursements de l'ONU nous étaient facturés… Quant aux conventions de calcul, nous ne les connaissons pas, et c'est pourquoi je souhaite que le groupe de travail soit constitué au plus vite. En ce qui concerne les surcoûts directs – et non pas calculés –, d'alimentation par exemple, il n'y a pas de désaccord sur la définition, mais en revanche nous voulons pouvoir tracer et auditer les factures qui nous sont présentées.