Nous avons procédé comme souvent dans les démarches d'évaluation de politiques publiques. Notre proposition, qui semble-t-il a été considérée comme la plus adaptée à la problématique, comportait une méthodologie. Trois niveaux de l'État étaient impliqués : la DIACT, qui était chef de projet et avec qui nous avions des contacts, le comité de pilotage, composé d'une cinquantaine de personnes et qui regroupait bien au-delà de l'État, et le groupement interministériel, qui rassemble les services des différents ministères en charge du suivi des pôles. Nous avons présenté régulièrement des analyses d'étape, puis le rapport final d'évaluation individuelle de chacun des pôles. L'État a joué son rôle de chef de projet et d'animation d'un comité de pilotage pluridisciplinaire.