La dévolution du patrimoine devra être précédée d'un dialogue entre les universités et la tutelle sur les conditions de la remise à niveau du patrimoine existant.
Les universités propriétaires de leur patrimoine devront rationaliser son utilisation. Peut-être cesseront-elles de se demander comment avoir plus de surface, pour réfléchir à la manière de continuer avec moins.
Pour le reste, l'on peut admettre que le financement de la part du patrimoine dans le coût environné pour une discipline scientifique soit plus élevé que pour les sciences humaines et sociales.