Ne retombons pas dans les travers de San Remo, en complexifiant excessivement les critères. Nous proposons, pour la part DGF, de ne pas distinguer entre licence et master. En revanche, la part à la performance étant basée sur des résultats d'indicateurs de performance étudiés a posteriori, l'on peut considérer que la qualité de la formation ou l'insertion professionnelle pèse plus pour la licence que pour le master, davantage concerné par le critère d'attractivité. Mais c'est une part mineure du financement.