La labellisation pourrait certes contribuer à réduire les coûts, mais il faut être très vigilant quant à l'homogénéité pédagogique qui fait la force de l'enseignement français à l'étranger, n'existant pas par exemple dans l'enseignement anglo-saxon. Il faut garantir la qualité constante de la démarche pédagogique comme celle des recrutements, et donc être prudent quant à ce que recouvre la « labellisation ». Les enfants d'expatriés qui souhaitent intégrer les filières d'excellence de l'enseignement supérieur français, comme les classes préparatoires, ne doivent pas être pénalisés par une scolarité effectuée à l'étranger. Les parents risquent d'être inquiets si la labellisation a une connotation négative.