Il m'est très difficile de répondre car ces petites opérations qui ont lieu au jour le jour, dont le montant va de quelques centaines à quelques milliers d'euros, sont totalement décentralisées au niveau des filiales. Les seuls chiffres que je peux communiquer concernent les gros projets atteignant plusieurs centaines de milliers d'euros, comme celui du lycée de Pékin, qui remontent jusqu'à la direction générale du groupe, laquelle doit donner son aval. C'est l'AEFE qui pourrait, elle, dresser un récapitulatif de toutes ces petites aides apportées par les entreprises.