On pourrait imaginer que des particuliers, notamment des expatriés, souhaitent contribuer au développement de l'enseignement français à l'étranger. Mais les expatriés ne payant pas leur impôt sur le revenu en France, ils ne pourraient prétendre à déduction fiscale à ce titre. Ne resterait que la possibilité d'une réduction sur l'ISF, pour ceux qui s'en acquittent.