Il est très difficile pour les entreprises d'évaluer le montant global de leur participation au financement des établissements car l'essentiel des actions est géré directement par leurs filiales locales, et toutes ces données financières ne remontent pas nécessairement jusqu'à la société mère. Sans doute serait-il plus facile à l'AEFE elle-même de rassembler ces données.
Pour le reste, les entreprises se soucient davantage du fait que leurs expatriés aient à disposition un enseignement français là où ils sont envoyés que de la gratuité de celui-ci. En effet, le financement des coûts de scolarité a toujours fait partie du « package » d'expatriation. Avec l'irruption de la crise, certaines entreprises se disent toutefois que cette gratuité pourrait être source d'économies pour elles…