Quel est le montant approximatif de la participation des entreprises françaises aux dépenses, tant d'investissement que de fonctionnement, des établissements de l'AEFE ?
Par ailleurs, vous avez mis l'accent sur diverses difficultés qu'ont également soulignées d'autres personnalités que nous avons auditionnées précédemment, comme la diminution du nombre d'enseignants détachés, l'accroissement des charges de personnel, la vétusté des locaux… Tout cela ne découle pas directement de la « gratuité », mais y est souvent lié. Que pensez-vous du dispositif de prise en charge (PEC). Le jugez-vous ou non satisfaisant en l'état ?
Enfin, vous avez mentionné les difficultés d'homologation de certains établissements. Ne faudrait-il pas préciser davantage les besoins des entreprises ? Leurs objectifs et attentes sont-ils exactement les mêmes que ceux de l'AEFE ? Les familles d'expatriés sont-elles plus demandeuses pour leurs enfants d'enseignement du français ou d'enseignement en français ? Que pensez-vous de la mise en place d'un enseignement bilingue dans les pays non francophones, notamment anglophones, et du principe défendu par la Mission laïque française « deux cultures, trois langues » ?