En région parisienne, il y en a une à Saint-Cyr l'École, pour environ 15 millions et une autre, très spécifique, à Vélizy : la vente à des entreprises qui travaillent en partie pour la défense, comme EADS ou Messier-Bugatti, des emprises qu'elles occupent. Les textes ont été modifiés il y a plusieurs années afin de permettre de les leur vendre à l'amiable, sans mise en concurrence – mais sur la base bien sûr de l'évaluation. L'opération pourrait se monter à plusieurs dizaines de millions. La cession de la base aérienne de Toulouse, selon l'option choisie, avoisinera peut-être la dizaine de millions – beaucoup moins de toute façon que l'évaluation in abstracto du TGPE, mais il faut trouver un acquéreur…