Notre objectif est de valoriser au mieux nos emprises, notamment celles dont nous n'avons plus besoin. Jusqu'à présent nous n'avons pas sacrifié des contraintes capacitaires ou opérationnelles à des fins budgétaires, ce que d'aucuns ne manquent pas de nous reprocher. Nous n'avons pas non plus sacrifié aux contraintes de calendrier la cession du patrimoine immobilier du ministère. Si nous n'avons pas encore conclu avec la Caisse des dépôts et consignations et SOVAFIM la cession des emprises parisiennes, c'est parce que nous considérons que le prix proposé actuellement ne préserve pas les intérêts patrimoniaux de l'État.