Il nous semble que, lorsqu'un groupe se voit attribuer 20 millions de subventions publiques, il doit pouvoir justifier l'emploi d'une telle somme. Or nos employeurs nous présentent le dispositif non comme vous le faites, c'est-à-dire comme une aide qui leur permettrait de consacrer plus d'argent à la recherche, mais comme une manière d'abaisser le coût du chercheur français, de manière à le rendre plus compétitif.