Il faut également que nous permettions aux universités d'être aussi optimales que possible en leur proposant un certain nombre d'instruments, notamment en ce qui concerne la gestion de la paie. Nous travaillons en particulier sur la « paie à façon » car la lenteur des retours d'information sur les paies ne permettrait pas aujourd'hui un suivi correct de la masse salariale.
Trois conditions sont donc impératives pour que les universités aient une gestion autonome de leur masse salariale : une bonne connaissance de sa valeur, une assurance quant aux instruments de suivi de cette gestion et, enfin, une bonne préparation du processus de paie.