Nous nous sommes quant à nous plus particulièrement occupés du coût du nouveau mode d'allocation des moyens – estimé entre 500 et 800 millions d'euros – et par la masse salariale, qui s'élève à 7 milliards et qui sera transférée progressivement hors du titre II – sachant que les universités ne gèrent aujourd'hui qu'un milliard environ de masse salariale sur leur budget propre. Les universités devront prendre en compte des données tel que le glissement-vieillesse-technicité (GVT) ou l'évolution de la valeur du point et nous les accompagnerons dans cet exercice qui est souvent nouveau pour elles.