Cet argument plaide également en faveur du renforcement de la démarche interministérielle : les ministères doivent cesser de se cramponner à leur immobilier.
L'immobilier des ministères sociaux est évidemment affecté par l'instabilité de l'organisation ministérielle mais aussi par le poids des cabinets : jusqu'à sept cabinets ont coexisté, avec plusieurs centaines de personnes à loger pour une durée limitée. D'après une étude récente, les cabinets des ministères sociaux représentent jusqu'à 10 % des effectifs de l'administration centrale.